Nos évènements

Le sauvetage de Gainville

La demeure Gainville du 17ème siècle avait été menacée de destruction dans les années 80 . Le CAHRA s’était employé à la sauvegarder. Cette bâtisse avait abrité plusieurs conseillers du Roi, tel le marquis de Quincize, des propriétaires prestigieux dont Claude Berthollet, chimiste , capitaine de la garde républicaine d’Aulnay au début du 19ème siècle ou encore Jean-François de Maucomble , général de brigade. Le premier orphelinat, le futur protectorat, s’y installa en 1874 pour une courte période..En 1950, la municipalité la racheta, l’utilisa pour un Centre d’Orientation scolaire, des cours d’art plastique puis elle fut abandonnée.

Sous l’impulsion du CAHRA, elle fut restaurée et inaugurée en 1994.

La ferme Garcelon

Historiquement relais de chasse relais, une famille vient s’y installer à la fin de la Grande Guerre. La ferme laitière Garcelon , avenue du clocher, est un dernier vestige du passé agricole d’Aulnay-sud. Acquise par la municipalité en 2017, elle sera restaurée et agrandie pour de nouvelles utilisations associatives et comme mairie-annexe.

Le cèdre

Le vieux cèdre du parc du château fut préservé en 1984 à la demande du CAHRA.

On peut le voir dans la cour de la police municipale.

Les armoiries du château

Les armoiries du château démoli en 1907 ont été restaurées et sont exposées dans le hall de l’Hôtel de ville, de même la maquette du château

Le château

Le château que nous connaissons par cartes postales antérieures à sa démolition en 1907 avait été transformé par son seigneur Armand-Jacques de Gourgue en 1684 dans un style « classique » sur les bases d’un ancien édifice féodal. Le dernier descendant, , décédé en 1893, Dominique de Gourgue avait entrepris de ruineuses et vaines transformations.

La chapelle des de Gourgue

Les derniers descendants de la seigneurie des de Gourgue reposent dans cette chapelle funéraire, notamment Dominique de Gourgue décédé en 1893, ancien maire de la ville. Ce monument a été restauré en 2023

Les céramiques architecturales

Elles décorent les pavillons anciens de la première moitié du 20ème siècle. Avant destruction des pavillons, il est souhaitable de les sauvegarder et de trouver un lieu pour les exposer.

Deux peintures religieuses

La première du 17ème siècle « Noli me tangere » avec son cadre est en cours de réparation. La seconde « Saint-Vincent-de-Paul sera restaurée probablement en 2026.

Le chemin de croix de l’église Saint-Sulpice

Sous l’impulsion du CAHRA, ce chemin de croix à l’intérieur de l’église a été sauvé

Les drapeaux anciens

Cinq drapeaux anciens ont été rénovés dont ceux de l’amicale des poilus et de l’Union des Résistants. Ils seront exposés dans le hall de l’Hôtel de Ville.

Le buste de Claude Berthollet

Ce buste a été créé à la demande du CAHRA. Noirci par les suies d’incendie, il a été nettoyé par notre restauratrice Mme Virginie Lemaître

La sculpture de Jeanne d’arc

Détériorée accidentellement lors de la rénovation de l’église Saint-Sulpice, cette statue est en attente de restauration .

Exemple de deux archives anciennes: 1407 et 1485

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Ces deux archives témoignent de l’activité des anciens seigneurs d’Aulnay. Le premier revendique son droit de corvées attesté depuis 1208. Le second rappelle que Jacques Coitier médecin de Louis XI est le nouveau baron du terroir et use de son bien, ce depuis son achat en 1483.

Les journaux locaux : l’Impartial…

Le CAHRA dispose d’une importante collection de journaux : Echo 93, Renaissance et l’Impartial fondé par Jules Princet.

Aulnay, terre archéologique

Le CAHRA a confié au bureau d’archéologie de Seine-Saint-Denis toute sa collection d’artefacts et objets recueillis sur la site archéologiques de la ville depuis 50 ans. Il est attentif aux prochaines fouilles envisagées sur la ville.

La Tour Eiffel

Un projet vise à la réinstaller dans le quartier auquel elle a donné son nom. Elle avait été réalisée par M. Minder.

Les expositions du CAHRA

Chaque année l’association organise une exposition thématique : les écoles, le cyclisme, le village agricole et ses fermes, les peintres aulnaysiens..

NOS GRANDES ET PETITES PREOCCUPATIONS PATRIMONIALES:

La demeure Gainville à restaurer

Cette demeure a échappé à une destruction totale. Sa restauration devrait débuter en 2025

Les tombes des poilus et de personnalités aulnaysiennes.

Ces sépultures de personnalités et de soldats morts pour la France sont souvent tombées dans l’oubli. Elles pourraient disparaître conformément à une loi récente. Le CAHRA les a répertoriées afin qu’elles soient entretenues et préservées.

Les guérites allemandes

Une guérite allemande de la dernière guerre 1939-1945 . Elle servait d’abri à une sentinelle chargée de la surveillance de la voie ferrée sous l’actuel pont Maillard.Elle relève de la SNCF. Un autre guérite préservée par la municipalité est visible su la rue longeant la voie ferrée.

La Maison Princet

Cette maison de la seconde moitié du 19ème siècle fut la demeure de Jules Princet, personnage illustre de la ville, maire de 1919 à 1924. C’était un artiste aux talents multiples : musicien, lithographe, journaliste, historien local, poète et auteur dramatique. Il créa « le théâtre aux champs » , de plein-ai,r associant acteurs professionnels et villageois.

Cette maison appartient aux héritiers de la famille Princet en attente d’un projet pour celle-ci.

Le café des pailleux

Au carrefour de la Croix-verte, se trouve ce café dit du « soleil levant » à l’abandon. Ce témoin du passé agricole est menacé de destruction par un projet immobilier et d’élargissement de la voie.. Ce débit de boissons accueillait les Pailleux qui allaient livrer la paille à Paris. C’était aussi l’entrée du village.

La Maison Feniger

A proximité de l’église, la demeure du XVIII ème siècle dite « l’Ancien Prieuré » est une des rares maisons anciennes d’Aulnay conservée avec son jardin.

Une borne royale

Cette borne royale trouvée sur le territoire d’Aulnay a été déposée au Centre Technique Municipale. Depuis, elle est introuvable.Elle est probablement du 17ème ou 18ème siècle, servant à la  délimitation de la forêt de Livry-Bondy. Elle a été découverte allée des Bosquets . 

Le lion de l’ancienne mairie (terrain Princet)

Mme Nicole Princet s’inquiétait de la conservation de cette statue. Elle trônait autrefois sur l’un des piliers d’entrée de l’ancienne mairie « rue de Gonesse ». Le second lion avait été détruit lors du bombardement prussien du village en 1870.

Stèle Pierre Gastaud et Louis Barrault : 

Photo de la première stèle en hommage à Pierre Gastaud et Louis Barrault. Elle était dans le parc Dumont et fut sauvegardée par Pierre Olmeta en 1994. La partie haute se trouve bien dans les jardins de l’hôtel de ville. Depuis longtemps, la partie basse attend au CTM d’être replacée dans le parc de l’Hôtel de Ville avec le partie haute.